Neuf mouvements
pour une cavale
de Guillaume Cayet
Compagnie d'octobre
2025
poste : scénographe

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note scénographique
Dans cette adaptation, la réflexion est fortement axée sur la sororité entre les personnages, les difficultés et rivalités qu’elle entraîne.
En effet, l’enfermement auquel les 5 soeurs sont soumises est autant une pression de la société qu’une norme totalement intériorisée, les filles se faisant tour à tour les oppresseurs les unes des autres.
Un espace de huis-clos a donc été imaginé, de telle manière que lorsqu’une des sœurs s’extrait de ce que l’on imagine la « pièce à vivre » de la maison, elle reste néanmoins toujours proche, en écoute et en regard de la scène, dans les "couloirs" encadrant la scène.
L’espace de jeu central et le mobilier sont volontairement traités de manière symbolique, déformés, faisant écho aux scènes de cauchemar personnel de chacune des filles.
Une palette de tons chauds, dans le traitement du sol et des voiles, évoque une architecture du sud de l’Europe, faisant écho à l’ambiance musicale de la pièce, mais aussi à la chaleur omniprésente dans le texte.
Mise en scène Claire Marx
Jeu Sophie Anselme
Mât chinois Grégoire Fourestier
Scénographie Suzanne Barbaud
Musique Guillaume Arbonville
Décor pensé et construit à
