note scénographie

L'espace multifrontal est pensé comme une agora. La scénographie accompagne le parcours des personnages, de la ville à la forêt, celle-ci symbole d'une résistance intellectuelle à l'absurdité de la vie citadine. 

Après des pastilles surréelles de vie moderne, entourant les spectateurs, nous assistons au craquement de la surface bétonnée centrale. Dessous, de la terre.

Alors vient le chemin vers le fond, un enfoncement progressif. On s'enfonce et on s'élève à la fois dans le dernier tableau évoquant les luttes civiles dans les ZAD et autres poches de résistance à la "bétonisation" de la nature.