note scénographie

A Salem, l'histoire d'une folie grégaire menant un village entier à accuser de sorcellerie quatre jeunes filles sans histoire.

La scénographie vient dessiner un huis-clos mental, un espace commun angoissé dans lequel se retrouvent les quatre jeunes filles à leur insu.

L'espace scénique est redessiné en arène par un rideau ne laissant transparaître que les agressions de l'extérieur. Il semble infranchissable, sauf aux accusations.

La scénographie se compose de ce textile, et de dalles lumineuses suggérant les différents lieux de la fuite des personnages. Celles-ci permettent également, par une utilisation chorégraphiée, la représentation d'une perte totale de repères.